Mystérieuse nuit d’été,
Bien avant ton évanescence,
J’ai marché longtemps égaré
Par le remords et la souffrance.

Seul, sous la divine clarté
De mille étoiles vigilantes,
Je repris la sérénité,
L’espoir d’une foi renaissante.

 

 

Mystérieuse nuit d’été,
Faut-il avoir l’âme en détresse
Pour mieux comprendre ta beauté
Qui nous étreint jusqu’à l’ivresse ?

Mais tu emportes ton secret
Au sein d’une force latente,
Nous laissant toujours le regret
D’une fuite à l’aube naissante.